La police interpelle cet homme de 44 ans, victime d’arnaque, à la CPAM du Puy-de-Dôme à Clermont-Ferrand le 30 mars dernier. Le quadragénaire accusé d’avoir utilisé des faux papiers pour détourner 40 000 euros de prestations sociales se retrouve assigné à résidence. Nous allons vous dévoiler dans cet article les détails à propos de cette affaire particulièrement captivante.
Un homme accusé d’avoir détourné 40 000 euros d’aides sociales
En effet, cette victime d’arnaque CPAM se retrouve arrêté par la police aux frontières. Le magazine France Bleu Pays d’Auvergne rapporte qu’il s’agit d’un père de famille d’origine algérienne âgé de 44 ans. Il se retrouve accusé d’avoir détourné plusieurs dizaines de milliers d’euros de prestations sociales.
Dans ce sens, le suspect se rend à la Caisse Primaire d’Assurance Maladie du Puy-de-Dôme à Clermont-Ferrand pour sa demande de carte vitale. Les employés de la CPAM ont eu des doutes sur l’authenticité de sa carte d’identité italienne.
Par la suite, les spécialistes de la police aux frontières procèdent à une vérification et affirment qu’il s’agit d’un faux. Cet homme aurait déjà utilisé de faux papiers d’identité pour percevoir plusieurs aides sociales dans le passé.
Apparemment, il parvient à toucher 40 600 euros d’aides sociales grâce à ses manœuvres. Le suspect se retrouve ainsi assigné à résidence et doit quitter le territoire à court terme. Son jugement se déroulera devant le tribunal correctionnel en janvier 2024.
Victime d’arnaque CPAM
Par ailleurs, le magazine Le Parisien rapporte l’histoire d’une infirmière de 54 ans victime d’arnaque CPAM. Elle a été accusée d’avoir réclamé des remboursements pour des traitements qui n’ont jamais eu lieu. Cette infirmière, qui travaillait comme praticienne privée à Stains, en Seine-Saint-Denis, depuis plusieurs années, capte l’attention de la CPAM. Notamment, en soumettant des demandes de remboursement exceptionnellement élevées.
La CPAM décide de mener sa propre enquête et découvre que les prescriptions précédant ces traitements étaient soit de faux documents, soit falsifiés. Cette infirmière à Stains aurait commencé ce stratagème à l’été 2015.
Dans ce sens, la CPAM a découvert 100 000 euros de fonds détournés dans les relevés bancaires de l’infirmière. Les fonds qui s’élèvent à 276 000 euros se retrouvent transférés sur les comptes de la femme et de l’enfant de l’infirmière. Par conséquent, elle se retrouve placée en garde à vue et sous contrôle judiciaire jusqu’à son procès.