Selon les dernières actualités, une tentative de collaboration entre le Chili et la France pour l’exploitation du lithium est en cours de route. Olivier Becht, le ministre français en charge du Commerce extérieur, travaille dur en ce moment pour que cette stratégie soit une réussite. Si la France veut exceller dans la fabrication des batteries pour les véhicules électriques, le lithium est l’élément indispensable.
Une tentative de collaboration entre le Chili et la France
Le Chili et la France sont sur le point d’entamer une collaboration pour l’exploitation du lithium. En effet, le lithium est le composant essentiel indispensable dans la fabrication des batteries pour les véhicules électriques. La fabrication de batteries fait partie des principales activités innovantes de la France actuellement. Et le ministre du Commerce extérieur opte pour une collaboration avec le Chili vu qu’il dispose les plus grandes réserves de minerai au monde.
Tant que l’accord n’est pas concluant, ce n’est pas la peine de gaspiller du temps dans la construction des batteries. De nombreux pays se battent pour travailler directement avec le Chili. Néanmoins, c’est la France qui est au premier rang jusque-là.
Les contreparties offertes pour le Chili
Bien évidemment, il y a des contreparties pour le Chili dans cette collaboration. Puisque c’est la France qui a besoin du lithium, elle doit faire une offre attrayante dans le but de faire évoluer le Chili.
Pour des intérêts écologique et économique, la France possède une nouvelle technologie qui permet d’extraire le lithium sans beaucoup d’eau. De ce fait, les experts français ont mis au point cette tendance récemment dans le but de préserver l’environnement.
Le point de vue du président chilien sur cette collaboration
Actuellement, Gabriel Boric, le président chilien, donne une opportunité de partenariat entre le secteur public et privé sur les lieux. La surface des terrains exploitables est assez énorme que le secteur public n’a pas la possibilité de tout assurer.
Quoique, l’accord pour la collaboration avec la France est, pour lui, une possibilité de s’ouvrir vers de nouveaux horizons. Il s’agit plus concrètement de la production d’hydrogène vert. Par ailleurs, les études sont encore en cours. Cela permettra de voir si tout cela est faisable avant de passer à la signature du contrat.