Avec tous ses soucis, la promotion de la villa de Gérard Depardieu était la seule alternative pour qu’il s’en sorte. Cette vente à perte a fait un véritable tapage sur les médias. En effet, sa White Cloud en Belgique est l’une des villas la plus chère au monde.
La superbe White Cloud de Gérard Depardieu
Gérard Depardieu est un grand homme très célèbre qui détient de nombreux patrimoines immobiliers. Actuellement, il se permet même de se payer une chambre d’hôtel à près de 50 millions d’euros, une somme vraiment considérable. Comme il a excellé dans sa carrière, c’est normal qu’il soit autant riche.
La superbe White Cloud de Gérard Depardieu se situe en Belgique, plus exactement à Néchin. À l’époque, il a bâti un vrai empire afin de pouvoir en profiter à la retraite. Cependant, l’avenir a décidé autrement.
L’historique de la villa de Gérard Depardieu avant sa vente
La maison est située sur un terrain d’environ 350 mètres carrés. Lors de la construction de la villa, dans les années 1920, le comédien a dépensé presque toute sa fortune dans cette maison.
Pourtant, en 2013, la maison ne revenait qu’à 1,2 million d’euros. C’est tout à fait logique que ça l’attriste parce qu’il n’a même pas pu profiter de cet empire à cause de son travail. Il fut un temps, il décida tout de même de transformer sa White Cloud en maison d’hôte pour 145 euros la nuitée.
La promotion de la villa de Gérard Depardieu conduisant à une vente à perte
La villa très spacieuse, avec le meilleur emplacement s’est vendue à un prix bradé. Qui peut en venir qu’avec tous les équipements qu’il y avait à l’intérieur, le prix était descendu jusqu’à moins de 500 000 euros ?
Tout y était : 5 grandes chambres indépendantes, un immense salon, un bar et une salle à manger digne. Bien évidemment, le prix n’est pas du tout raisonnable. Mais avec les pressions qui lui pesaient, Gérard Depardieu n’avait plus le choix. Il a fallu qu’il cède au bout de 2 ans sans succès. C’est bien vrai que quand on est dans une profonde détresse, on se permet de faire n’importe quoi.
