1750 ans après avoir été écrit, un chapitre de la bible a été découvert, révélant ainsi un nouveau texte.

Découvrez les enseignements et les révélations de ce chapitre jusqu’alors inconnu !

Une découverte incroyable a été faite, un chapitre de la bible découvert :


Un chapitre caché d’un texte biblique écrit il y a plus de 1750 ans a été récemment découvert.

Les scientifiques, en particulier Grigory Kessel, ont réussi à dévoiler ce trésor caché en utilisant les rayons ultraviolets.

Cela permet de révéler le document sous trois autres couches de textes.

Il s’agirait des chapitres 11 et 12 de l’Evangile selon Saint-Matthieu dans le Nouveau Testament écrits en langue syriaque.

Ce nouveau texte donnerait des détails supplémentaires sur les événements relatés dans ces chapitres.

Les scientifiques estiment qu’il pourrait avoir été écrit au IIIe siècle.

Actuellement, le verset 1 du chapitre 12 de l’Evangile selon Saint-Matthieu est connu comme suit:

« En ce temps-là, un jour de sabbat, Jésus vint à passer à travers les champs de blé, ; ses disciples eurent faim et ils se mirent à arracher des épis et à les manger ».

Cependant, dans cette nouvelle version syriaque, il est précisé que « ses disciples eurent faim, ils se mirent à cueillir des épis, à les frotter dans leurs mains et à les manger ».

Cette découverte peut aider à mieux comprendre l’histoire et la culture de cette époque.

Un texte qui remonte au du début du VIe siècle selon la datation effectuée:


Une étude a révélé l’existence d’une des plus anciennes traductions des Évangiles.

Les scientifiques ont constaté que cette traduction possédait des différences avec les versions plus récentes, offrant ainsi plus de détails.

Selon les chercheurs, le texte a été produit pas plus tard qu’au VIe siècle.

Et ils ont pu arriver à cette conclusion en se basant sur la datation des Évangiles.

Bien que peu de manuscrits datent de cette période, les comparaisons menées avec des manuscrits en langue syriaque ont permis d’indiquer une date d’écriture potentielle située durant la première moitié du VIe siècle.

Le document a été découvert grâce à l’intuition des chercheurs selon laquelle le parchemin était rare à l’époque et qu’il pouvait être réutilisé, renfermant ainsi des textes cachés. Cette hypothèse a été vérifiée.

Le texte qualifie cette découverte de « passerelle unique » vers les premières versions des Évangiles.