Un bon salaire devrait nous permettre de vivre convenablement malgré le contexte économique actuel et l’inflation qui frappe très fort. Et pourtant, bon nombres des foyers français ne parviennent plus à s’en sortir malgré les aides et autres boucliers tarifaires. La flambée des prix qui touche presque tous les secteurs affecte profondément le pouvoir d’achat des foyers français.
En effet, nous devons comprendre la notion de salaire brut et salaire net pour déterminer les caractéristiques d’un bon salaire. Le salaire brut est dépourvu de taxe tandis que le salaire net correspond à la somme d’argent qui arrive sur votre compte bancaire.
L’Insee rapporte le résultat de l’étude annuelle sur les salaires en affirmant que le salaire mensuel net médian est à 2005 euros. Autrement dit, la moitié des Français gagnent moins de cette somme et l’autre moitié, gagne plus.
L’explosion des prix contraint de nombreux foyers français à réduire leurs dépenses sur l’alimentation et l’énergie. Et pourtant, il s’agit de besoins fondamentaux pour vivre convenablement.
Par ailleurs, cette étude dévoile également de les Français affirment qu’il leur manquait 510 euros pour vivre convenablement. Le bon salaire pour pouvoir vivre comme il se doit s’élève à 2500 euros par mois.
Dans ce sens, ce montant varie en fonction des charges, du lieu de vie, de la situation familiale et des priorités de chacun. Les ménages français ne prévoient pas de s’accorder des folies grâce à ces centaines d’euros supplémentaires.
En effet, les Français indiquent comment ils comptent dépenser ces centaines d’euros supplémentaires dans le cadre de ce sondage. Les ménages français envisagent d’utiliser cette somme pour des postes élémentaires, notamment l’alimentation ou l’énergie.
Il ne s’agit pas de répondre à des besoins accessoires ou s’offrir des plaisirs et loisirs, mais juste pour vivre convenablement. Le contexte économique actuel ne permet plus aux foyers modestes de subvenir à leur besoin, leur salaire ne suffit plus. Le gouvernement tente tant bien que mal de rétablir le pouvoir d’achat des Français par le biais des aides sociales.