Les cas de l’assurance chômage sont présentées en conseil des ministres. Avec un cas important sur les demandeurs d’emploi. Les critères pour avoir une indemnisation devraient être plus stricts. Voici les détails actuellement disponibles.
Depuis le 1er février, de nouvelles règles d’indemnisation du chômage s’attache aux nouveaux demandeurs d’emploi. La loi du 21 décembre 2022 porte des mesures d’urgence pour le marché du travail. Il crée un dispositif de modulation de la durée d’indemnisation du chômage. Désormais, les gens en besoin d’emploi pourront voir leur pension diminuée de 25 %. De même si le cas économique est favorable.
En revanche, si le cas est mauvais. Un ajout de fin de droits sera ajouté pour prolonger leur durée d’indemnisation. Ces changements visent à adapter l’assurance chômage en fonction de la situation économique. Il offre ainsi une plus grande flexibilité qui garanti un soutien aux demandeurs d’emploi.
Dans le numéro 3307 de juillet-août 2023 du magazine ASH. Il se trouve dans le plan encadré n°378916 sur le cas de l’assurance chômage. Le dossier est divisé en trois parties. D’abord, il traite de l’allocation d’aide au retour à l’emploi. Qui permet d’aborder les bénéficiaires. Les élément d’attribution, la durée d’indemnisation, le montant de l’allocation journalière et son paiement.
Ensuite, Il examine les mesures qui aide le retour à l’emploi et la sécurité des parcours expert. Avec les droits rechargeables, le cumul avec les revenus d’une activité. Aussi l’aide pour la reprise ou la création d’entreprise.
Enfin, Il évoque d’autres appuis telles que la pension de décès et l’aide pour congés non payés. Ces informations permettent de mieux comprendre l’impact de la réforme sur les demandeurs d’emploi.
Avec le cas à venir. Le montant de l’indemnisation ne devrait pas changer. Mais les élément d’éligibilité seront plus strictes. Ainsi, la durée d’indemnisation sera réduite. Cela se produira seulement lorsque le marché de l’emploi sera actif. Aussi quand le taux de chômage baissera.
Dans ce contexte, le nombre de mois de travail requis pour avoir des droits sera augmenté. Par exemple, il faudrait avoir travaillé 6 mois sur 24 pour être en droit, contre 4 mois. De plus, l’allocation sera versée pour une période moins longue.
Selon Marc Ferracci, député renaissance et l’un des créateurs de la précédente cas d’éligibilité des produit. Avec les résultats les plus rapides en matière d’emploi. Il justifie à l’AFP que si l’on ne se concentre que sur la durée, les effets prendront du temps. Alors que nous avons besoin de résultats rapides ».