La taxe sur les billets d’avion en première classe et business class ne concerne pas vraiment la réduction des émissions de CO2. Ces taxes vont servir à financer le train comme les vols commerciaux polluent cinquante fois plus que les TGV. Le ministre des Transports évoque cette mesure pour apporter quelques explications au grand public.
En effet, la taxe sur les billets d’avion en première classe et business class va servir pour le financement du TGV. Il s’agit d’une mesure pour réduire les émissions de CO2. Apparemment, ces vols commerciaux polluent cinquante fois plus que les TGV.
Dans ce sens, le ministre des Transports souhaite proposer cette contribution dans le prochain budget. Une mesure qui intervient après la controverse sur les jets privés, l’abandon des routes aériennes courtes et le rationnement prôné par Jean-Marc Jancovici. L’éco-taxe Beaune représente le nec plus ultra d’une lutte des classes pour favoriser l’aspect écologique.
En effet, la taxe sur les billets d’avion en première classe et business class se charge des émissions de CO2 en secondaire. Cette mesure vise surtout à envoyer un signal social. Le ministère souligne que le public visé reste peu sensible au tarif.
Dans ce sens, public visé est peu sensible au tarif classe ne paieront rien même s’ils contribuent dans cette pollution. L’exécutif aurait renoncé à peser sur le comportement des usagers. Apparemment, le plan Borne prévoit une baisse de 10 % des trajets en voitures individuelles d’ici à 2030. Et pourtant, il n’y a aucune incitation à la sobriété.
En effet, cette mesure vise à renchérir des billets déjà les plus taxés au monde pour subventionner, le ferroviaire. Cette taxe sur les billets d’avion risque de freiner la mutation technologique d’un secteur notoirement difficile à décarboner. Elle va également consolider le monopole d’une SNCF au fonctionnement erratique.
Par conséquent, cette décision va accroître en pure perte les prélèvements. Ces prélèvements atteignent un niveau record sans stratégie de mobilisation des citoyens. Néanmoins, la justice et l’utilité sociales ont bon dos.