Dans cet article, nous allons parler de ce fonctionnaire impliqué dans une escroquerie de plus de 5 millions d’euros. Il reste toujours autorisé à reprendre son emploi, un scandale au sein du syndicat Nuod Finance. Dans ce sens, un membre du syndicat décide de briser le silence à ce propos dans le cadre d’une interview face au patron du SPF Finances.
Un fonctionnaire impliqué dans une escroquerie de plus de 5 millions
En effet, ce fonctionnaire impliqué dans une escroquerie de plus de 5 millions d’euros titille la curiosité du public dernièrement. Apparemment, l’homme en question occupait un poste de direction au sein du syndicat.
Dans ce sens, avec ses collègues, il falsifiait le nombre de membres afin d’obtenir davantage de subventions. Notamment, de l’argent liquide était retiré des comptes et redéposé sur des comptes de transit. Nous retrouvons le nom des nouveaux membres en description.
La décision de la justice
Face à ce scandale au sein du syndicat Nuod Finance, la justice décide de lancer une enquête. Notamment, après qu’un membre du syndicat a soulevé la question auprès du patron du SPF Finances.
Dans ce sens, les enquêteurs se penchent sur les données bancaires du Nuod. Ils parviennent ainsi à constater que des centaines de transferts avaient été effectués. Soit 2.835 transferts alors que le nombre réel de membres s’élevait à 1.940.
Scandale au sein du syndicat Nuod Finance
Par la suite, le tribunal d’Anvers décide de poursuivre en justice huit membres du Nuod. Mais également une ASBL utilisée pour payer les primes du syndicat pour faux et d’escroquerie. Apparemment, les représentants syndicaux permanents auraient touché près de 1,5 million d’euros contre 3 millions d’euros pour les membres.
De plus, ils se retrouvent également accusés de fraude aux subventions estimée à 440.000 euros. Apparemment, cinq des huit syndicalistes ont été reconnus coupables en 2021.
Par ailleurs, ce fonctionnaire impliqué dans une escroquerie de plus de 5 millions d’euros a contesté son licenciement par le SPF devant le Conseil d’État. Notamment, il estime la décision du service public était caduque, car la procédure n’avait pas été suivie. Ainsi, le Conseil lui a donné raison et lui permet de retrouvé son poste.