Au cours du septième jour de lutte contre les incendies en Grèce, nous constatons une amélioration près d’Athènes. Dans ce sens, la situation reste particulièrement difficile dans le nord du pays vendredi dernier.
Septième jour de lutte contre les incendies en Grèce
En effet, pour le septième jour de lutte contre les incendies en Grèce, le feu continue de faire ravage. Dans ce sens, le plus important feu, qui présentait un front unifié de 15 kilomètres jeudi, touche la région septentrionale d’Evros. Soit, près de la ville portuaire grecque d’Alexandroupoli et de la frontière turque.
Apparemment, depuis samedi dernier et nous retrouvons 19 migrants présumés, dont deux enfants morts au nord d’Alexandroupoli. Le porte-parole des pompiers, Yiannis Artopios rapporte les dernières nouvelles à la télévision d’État ERT. Il affirme que « Malheureusement, Evros est la partie la plus active de tous les fronts auxquels nous sommes confrontés en ce moment ».
Amélioration près d’Athènes
En effet, pour le septième jour de lutte contre les incendies en Grèce, M. Artopios rapporte des nouvelles rassurantes près d’Athènes. Apparemment, « il n’y a pour le moment aucun gros front actif sur le mont Parnès ».
Par ailleurs, un troisième incendie faisait toujours rage en Béotie, au nord d’Athènes. Heureusement, les conditions s’étaient améliorées. Toutefois, le risque incendie reste très élevé pour vendredi dans le centre de la Grèce et la région d’Athènes.
La version des autorités
En effet, les autorités ont accusé des pyromanes comme étant l’origine des multiples fronts des derniers jours. Ils décident donc d’ouvrir des enquêtes qui impliquent désormais le service national de renseignement et le Département de prévention des incendies.
Dans ce sens, le porte-parole des pompiers affirme « Nous pourrons prouver qu’il y a une intervention sur ces fronts ». Le gouvernement évoque le changement climatique comme origine de cet incendie qui touche plus de 120.000 hectares dans le pays. Notamment, se basant sur les estimations de l’Observatoire national pour cette année 2023. Soit, trois fois la moyenne annuelle depuis 2006, selon l’Observatoire européen des feux de forêt.