Dans un climat économique marqué par une inflation croissante, le gouvernement se prépare à déclencher une véritable révolution fiscale. Les tensions inflationnistes qui secouent notre économie suscitent des inquiétudes à travers le pays. Cependant, le gouvernement a un plan audacieux pour y faire face. Tous les détails de cette stratégie inédite se trouvent dans les prochains paragraphes. Le but ultime est de lutter contre l’inflation en modifiant les seuils de l’impôt sur le revenu. Comment ces changements pourraient impacter votre vie financière et l’économie dans son ensemble ?
D’après les dernières informations, des changements significatifs pourraient être apportés au barème de l’impôt sur le revenu dans le prochain projet de loi de finances de 2024. Le gouvernement envisage sérieusement d’ajuster ce barème en fonction de l’inflation. Pour l’heure, le ministère de l’Économie et des Finances n’a pas formulé de commentaire officiel sur cette mesure. Par ailleurs, elle pourrait être soumise au Conseil des ministres le 27 septembre prochain.
Le seuil d’entrée dans l’impôt sur le revenu verra une hausse pour refléter l’augmentation des prix. De plus, une révision similaire s’appliquera aux seuils des différentes tranches d’imposition, actuellement fixées à 11 %, 30 %, 41 %, et 45 %.
En parallèle, le ministre des Comptes publics, Thomas Cazenave, promet un « budget historique pour la transition écologique ». Il met en avant que la hausse de la taxe foncière résulte principalement des décisions prises par les élus locaux.
Le fonctionnement actuel du système a potentiellement permis à l’État d’encaisser un montant supplémentaire de rentrées fiscales. Les chiffres varient de 5 à 6 milliards d’euros. Cependant, cette augmentation se considère comme politiquement difficile à soutenir. C’est la raison pour laquelle le gouvernement à envisager une révision des seuils des tranches d’impôt pour compenser cette lacune.
Il convient de noter que le gouvernement avait déjà pris des mesures en 2023 en augmentant le barème de 5,4 %. Cette démarche avait pour objectif d’empêcher que les citoyens à revenus plus modestes ne se retrouvent soumis à l’impôt sur le revenu en raison des hausses salariales engendrées par l’inflation.