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Revalorisation du SMIC : date d’entrée en vigueur, les détails sur le salaire minimum

La revalorisation du SMIC fait partie des mesures dans le cadre du rétablissement du pouvoir d’achat face à l’inflation. Le salaire minimum interprofessionnel de croissance, qu’on appelle plus communément SMIC, a été instauré avec la loi du 2 janvier 1970. Ce salaire minimum a toujours évolué depuis sa création jusqu’à atteindre les 11,52 euros bruts de l’heure actuellement.

Les détails sur le salaire minimum


En effet, la revalorisation du SMIC augmente le salaire minimal qu’un employeur peut verser à ses salariés. Ce salaire minimum interprofessionnel de croissance évolue au fil des années en fonction du coût de la vie.

Dans ce sens, les prix des denrées alimentaires représentent un des principaux facteurs pour cette évolution. Le SMIC subit une revalorisation chaque année en date du 1er mai. Dernièrement, il passe à 11,52 euros bruts de l’heure, soit 1 747,20 euros brut par mois. IL s’agit de la rémunération pour un emploi à temps plein.

Apparemment, pour cette année, le SMIC a été revalorisé à deux reprises : le 1er janvier 2023 et le 1er mai. Une revalorisation de 1,81 % en janvier et de 2,19 % le 1er mai dernier.

Date d’entrée en vigueur


En effet, l’instauration du SMIG par la loi du 11 février 1950 vise deux objectifs précis. Afin de relancer la consommation et lutter contre la pauvreté, un changement radical instauré par le gouvernement à l’époque.

Dans ce sens, cette mesure contraint les entreprises et particuliers à payer les travailleurs 64 francs au minimum. Le SMIG varie en fonction de la hausse des prix et devient le SMIC avec la loi du 2 janvier 1970.
L’instauration du SMIC s’accompagne de plusieurs changements. La revalorisation du SMIC se base sur la hausse des prix et du salaire moyen.

Revalorisation du SMIC


En effet, la revalorisation du salaire minimum interprofessionnel de croissance suit trois modalités. Le SMIC subit une revalorisation annuelle le 1er janvier se basant sur le coût de la vie et des différentes crises. Le calcul tient compte des 20 % des ménages aux revenus modestes.

Par ailleurs, dans le cas où l’indice des prix à la consommation augmente d’au moins 2 %, le SMIC subit une autre revalorisation. Il existe également une revalorisation exceptionnelle instaurée par le gouvernement dans un contexte de crise. Apparemment, depuis 2012, il n’y a eu aucune hausse supplémentaire à la revalorisation mécanique.