Le ministre de l’Économie vient de communiquer une nouvelle mesure sur le rachat d’actions. Il consiste surtout à racheter les actions de manière équitable. En effet, cette pratique permet de préserver ses actions personnelles en les payant sur le marché. Bruno Le Maire invite les sociétés concernées à revoir leurs accords d’intéressement.

Le discours de Bruno Le Maire sur le rachat d’actions


Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a annoncé dans une interview de BFM business que le travail doit payer. Selon lui, si une entreprise possède les atouts majeurs qui lui permettent de racheter des actions. Alors, elle serait contrainte de renouveler les accords d’intéressement et de participation. Elles pourront désormais donner plus aux salariés en gardant toujours le même principe.

D’ailleurs, les entreprises sont de plus en plus intéressées par le rachat d’actions. De plus, cette méthode est devenue très prisée à cause de son importance sur le partage de la valeur. Alors, Bruno Le Maire a déclaré que les entreprises qui pratiquaient cette méthode devraient renouveler leurs contrats d’intéressement.

Par ailleurs, la proposition du ministre de l’Économie a engendré de nombreux débats. Jean-Paul Mattei soutient l’idée d’instaurer une taxe plus élevée sur ces opérations. Il estime que les opérations effectuées sur ces rachats devraient être complémentées par des taxes élevées.

Une décision au centre du débat


D’ailleurs, ces dernières années les rachats d’actions à l’international et en France ont énormément augmenté. Selon son estimation ces opérations favorisent la plupart des cas les objectifs à court terme. Dans ce sens, elle devient problématique. Alors, les actionnaires devraient être rémunérés ou bien avoir une augmentation sur leur bénéfice pour chaque action.

De son côté, Jean-René Cazeneuve s’oppose à un système fiscal plus élevé. Ce dernier affirme que le rachat d’actions n’est pas une conduite qui nécessite d’être réprimé. L’importance selon lui, c’est le partage de la valeur. De plus, le gouvernement devrait restreindre les entreprises qui n’appliquent pas le partage de la valeur.

Bruno Le Maire a également parlé d’une diminution de charges pour la mensualité comprise entre 2,5 et 3,5 fois le salaire minimum. Le ministre de l’Économie indique que depuis la mise en place des allégements de charges depuis 2017, environ 2 millions d’emplois ont été créés. Toutefois, le coût de cette mesure s’est amplifié en alourdissant l’État. La raison est que le montant du salaire minimum est basé sur l’inflation, qui a également augmenté.