Dans cet article, nous allons parler de la prévoyance vieillesse en Suisse, rapportant une étude de Pro Senectute à ce propos. La Suisse dispose d’un système de sécurité sociale solide, des assurances sociales, prestations complémentaires et aide sociale garantissant une vaste protection. Dans ce sens, cette étude dévoile que trop de seniors manquent le coche des prestations complémentaires.
En effet, Pro Senectute décide de lancer une étude sur la prévoyance vieillesse en Suisse. Cette étude dévoile que 15,7% des retraités suisses se privent d’un soutien financier. Et pourtant, ils remplissent tous les conditions d’éligibilité pour bénéficier de ce soutien financier. Cette situation se justifie par méconnaissance mais également par honte.
Dans ce sens, trop de seniors manquent le coche des prestations complémentaires en Suisse. Plus de 200’000 seniors vivent avec moins de 2279 francs par mois. Et pourtant, la moitié des retraités suisses ne touche aucune prestation complémentaire. Malgré cette pauvreté, bon nombre des personnes concernées ne bénéficient pas des aides sociales.
Apparemment, la prévoyance vieillesse permet de garantir aux personnes âgées un revenu décent et une vie financièrement autonome. Elle se compose de trois piliers distincts : l’AVS, la prévoyance professionnelle et la prévoyance individuelle. Ces trois piliers n ’ont pas la même fonction, ni le même financement et ni la même institution de gestion.
En effet, concernant la prévoyance vieillesse en Suisse, 15,7% des retraités suisses s’en privent. Pas moins de 230’000 seniors ne toucheraient pas de prestations complémentaires (PC) alors qu’ils remplissent les critères d’éligibilité.
Dans ce sens, cette enquête représentative menée par la Haute école zurichoise des sciences appliquées aboutit à cette conclusion. ZHAW travaille en collaboration avec Pro Senectute pour cette étude sur les prestations complémentaires.
Apparemment, 15,7% des plus de 65 ans vivant toujours à domicile éligibles à ces aides n’y ont pas recours. Cette aide qui vise à soutenir les personnes âgées à subvenir à leur besoin malgré l’arrêt de leur activité lucrative. Notamment, pouvoir vivre dignement, s’occuper de leur état de santé et disposer d’une autonomie financière, loin de la pauvreté et de la misère.