Ce n’est pas tous les jours qu’on peut avoir plus de détails sur le plan d’épargne retraite dit PER.
Certes, tout est décrit dans le contrat, mais ce n’est pas tout le monde qui prend le temps de lire et d’analyser ses données.
Le responsable des études patrimoniales à l’UFF, Valérie Bentz, accorde un peu de son temps pour résumer les points essentiels.
De ce fait, lire attentivement chaque ligne pour s’appliquer en cas de besoin et pour ne pas s’en sortir perdant.
Le PER ou plan d’épargne retraite fait partie des packs d’épargne retraite ouverts à tout le public.
À partir de 21 ans, tout le monde peut s’y mettre pour que le taux d’intérêt soit considérable à la retraite.
Cette offre est disponible depuis le 1er octobre 2019 et essaie de prendre la place des offres précédentes afin de les remplacer définitivement.
Voici quelques correspondances relatives pour ne pas se perdre devant le fait accompli :
– Perco est remplacé par le PER d’entreprise
– Le contrait Madelin et Perp sont englobés par le PER individuel
Toutefois, les agents ne peuvent pas basculer directement les comptes sans le consentement des propriétaires.
Avant de s’engager, il va de soi de connaitre les moindres détails.
Au fil des années, le titulaire du compte peut mourir sans même atteindre la retraite.
La question qui vient alors à l’esprit est si le capital accumulé est perdu dans ce cas.
Dans le contrat signé au tout début, il doit y avoir un bénéficiaire si jamais un tel cas se présente.
Tout a déjà été anticipé et programmé à l’avance, il ne faut pas avoir peur.
Pour le PER assurantiel, la cotisation sera versée aux bénéficiaires en capital.
Néanmoins, s’il s’agit d’un PER bancaire, le compte sera muté au nom des héritiers.
Ces transactions se font gratuitement, suivant les normes et avec des paperasses justificatives.
Par ailleurs, toutes les personnes qui n’ont pas eu le temps de passer au PER, la somme dans leur compte sera transmise aux héritiers en rente.