Cette nouvelle prime exceptionnelle de 800 euros annoncée le 12 juin 2023 représente une bonne nouvelle pour les heureux bénéficiaires. Compte tenu de la situation économique actuelle qui ne parvient toujours pas à se stabiliser. Plus particulièrement, face à l’inflation qui frappe de plein fouet, affectant le pouvoir d’achat des foyers français.
Nouvelle prime exceptionnelle de 800 euros
En effet, la flambée des prix touche de plein fouet le portefeuille des Français. Notamment, par rapport au prix de l’énergie et du gaz, du carburant et même de l’alimentation. L’évolution de l’inflation entraîne une baisse du pouvoir d’achat qui contraint les foyers à limiter leurs dépenses.
Dans ce sens, le gouvernement tente de rétablir la situation en proposant diverses primes et aides pour soutenir les foyers modestes. Notamment, le cas des aides dispensées par la caisse des allocations familiales (CAF). Mais également, l’allocation-chômage pour les demandeurs d’emploi qui vient de subir une hausse de près de 2%. Ainsi que cette nouvelle prime exceptionnelle de 800 euros annoncée le 12 juin 2023.
Les heureux bénéficiaires
En effet, le point d’indice des fonctionnaires a bondi de 1,5% depuis le premier juillet. Cette revalorisation concerne les agents de la fonction publique et va permettre une augmentation des salaires. Notamment, pour près de 5,7 millions de personnes.
Par ailleurs, une nouvelle prime exceptionnelle avec un montant variant de 300 à 800 euros va voir le jour. Ce montant varie en fonction du salaire des bénéficiaires. Cette prime concerne donc 70% des agents hospitaliers et 50% des agents de l’État.
Apparemment, ce coup de pouce de l’État, en somme, devrait satisfaire le plus grand nombre. En d’autres termes, moins vous gagnez, plus de chances, vous aurez d’obtenir un montant conséquent.
De nombreuses questions à ce propos
En effet, cette nouvelle prime exceptionnelle de 800 euros devrait contenter les fonctionnaires. Cependant, l’Unsa a souligné plusieurs questions en suspens par rapport à l’application de cette prime. Mais également, la période de référence et les revenus pris en compte pour bénéficier de ce plafond de rémunération mensuelle. Et pourtant, le gouvernement n’a répondu à aucune de ces questions.
Luc Farré, secrétaire général de l’Unsa évoque ces questions en suspens. D’un autre côté, la FSU affirme que le gouvernement ne parvient pas à s’engager à prendre en compte certaines propositions portées par les organisations syndicales. Ainsi nous nous retrouvons confrontés à une décision unilatérale.