Des changements météorologiques ainsi que la perturbation des températures de l’océan Pacifique sont provoqués par le phénomène El Niño. L’OMM pense qu’il va atteindre sa puissance maximale cet hiver et pourra même aller jusqu’en avril 2024.
El Niño est un phénomène climatique d’une saison qui touche à peu près toute la planète. Il se présente à la saison du printemps et son intensité s’est renforcée au cours de la saison d’automne. Ce phénomène pourra atteindre son point le plus élevé en fin de ce mois de décembre. Il va apporter des effets ravageurs comme des pluies torrentielles et de fortes chutes de neige. Le phénomène climatique cause également des perturbations météorologiques et des variations de température sur l’océan Pacifique et d’autre pays.
Le phénomène El Niño produit des hivers rudes et très humides avec une puissance qui évolue selon le rapprochement des régions avec l’océan Pacifique. D’ailleurs, une partie de l’Amérique peut être touchée par un hiver glacial avec des chutes de neiges plus abondantes que normalement.
Le phénomène océanique et atmosphérique, El Niño se produit dans l’océan Pacifique tous les 10 à 12 ans. Pendant l’année El Niño, les vents d’Est qui souffle autour de l’Équateur diminuent. Cela entraîne une hausse de température important sur les eaux dans le bassin. En particulier ceux de l’Amérique du Sud. Par contre, dans la partie ouest du bassin, les eaux se trouvent à basse température. Alors, cela a des impacts climatiques majeurs sur le côté du bassin pacifique.
En effet, ces conditions météorologiques engendrent d’abondantes pluies extrêmes qui provoquent des inondations. Surtout sur la région ouest de l’Amérique du Sud. Les impacts climatiques se font entendre sur d’autres parties de la planète. Lors du phénomène El Niño, une température extrême est amassée dans l’océan puis ensuite libérée dans l’atmosphère.
Les météorologues pensent qu’il y aura des températures exceptionnelles avec des fluctuations hivernales important cet hiver. L’Est de l’Asie et l’Ouest de l’Amérique sont les zones qui risquent d’être touchées par ce phénomène. Certains pays comme la Polynésie française ne seront pas à l’abri des cyclones. En plus, l’Organisation météorologique mondiale affirme qu’il y aura un risque d’hiver rude.
L’OMM met également en garde que l’année prochaine, la température sera très élevée pour la saison d’été. La chaleur dégagée par les activités humaines s’est renfermée et cela intensifie successivement les concentrations de gaz à effet de serre. Alors, ces actions ont des impacts majeurs sur l’écosystème, d’où la sécheresse, les vagues de chaleur et les fortes pluies.