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L’inflation : Le chèque alimentaire persiste uniquement en Seine-Saint-Denis, surprenant tous les consommateurs

Le gouvernement retardait la prime alimentaire à cause de l’inflation. Cependant, en Seine-Saint-Denis, elle commencera dès 2024. Cela signifie 50 euros par mois pendant six mois pour les étudiants, les mamans, et plus.

Chèque alimentaire : Un soutien face à l’inflation, bientôt disponible en Seine-Saint-Denis


Pour aider les familles à revenus modestes face à l’inflation, le gouvernement avait prévu la prime alimentaire. Cependant, cette aide ne sera pas mise en place partout en France, car c’est compliqué. Mais en Seine-Saint-Denis, un département proche de Paris, ils vont essayer cette idée. En 2024, les gens pourront avoir 50 euros par mois pendant six mois pour acheter à manger. Cette aide est pour les personnes avec peu d’argent, surtout les étudiants, mamans enceintes et jeunes mamans. Ils auront une carte spéciale pour acheter de la nourriture. Mais si vous n’habitez pas là-bas, vous devrez attendre encore un peu pour avoir cette aide.

Croissance de 0,5% en France : Bons des résultats au 2ᵉ trimestre


La croissance de la France est de 0,5% en avril à juin, plus que prévu par l’Insee. Le chèque pour la nourriture aidera plus de 1000 personnes pauvres dans diverses villes. Davantage, il aide les étudiants, mamans et jeunes mamans. Chaque personne reçoit 50 euros par mois pendant six mois. Ils peuvent l’utiliser comme ticket resto dans les magasins de nourriture. Les achats malins donnent plus. « Si on achète dans des endroits spéciaux, comme les supermarchés écolos, 10 euros d’achat donnent 5 euros de plus », dit Hélène Quéau d’Action contre la faim, qui soutient ce projet.

Montreuil : Une aide appréciable pour les familles face à l’inflation


À Montreuil, ils ont déjà essayé ce genre d’aide. C’était avec Passerelle, un projet avec Action contre la faim, après le confinement. Katia en a profité. Enceinte, sans travail ni argent, elle luttait pour payer loyer, factures et nourriture. « Avant que le mois finisse, rien n’est là, dit-elle. Je mangeais chez ma mère ou sautais des repas pour les enfants. On fait plus attention. On se prive. »

Pendant trois mois, Katia a reçu 180 euros par mois pour elle, son fils et son ami. C’était pour la nourriture et les affaires pour bébé, un soulagement. « Cela m’a beaucoup aidé. Ça tombait bien quand on en avait besoin. On avait des dettes à cause du loyer », dit-elle.