Découvrez le florilège des perles du bac qui ne manquera pas de vous étonner. Des réponses surprenantes et décalées sont recueillies chaque année lors des épreuves du baccalauréat.
Après les épreuves de philosophie et de français, les réseaux sociaux seront inondés des célèbres perles du bac. Au fur et à mesure de la correction des copies.
Les professeurs auront l’occasion de se délecter des erreurs monumentales commises par certains élèves. Toutefois, si vous êtes l’auteur d’une de ces « perles », ne vous inquiétez pas! Cela ne signifie pas nécessairement un échec à l’examen.
Faire sourire votre correcteur avec une tournure de phrase improbable. Mais également, une inexactitude peut même le mettre de bonne humeur… Les épreuves du bac créent involontairement un contexte propice à des inventions de plus en plus farfelues.
L’exemple parfait en est l’épreuve d’histoire-géographie. Où l’on retrouve des pépites comme « une croisade est un voyage en bateau organisé par le pape ».
Les expressions peuvent aussi semer la confusion. Comme cette réponse : « Comme souvent, le peuple s’en est pris à un bouc et mystère ».
Une réponse qui a particulièrement marqué le bac 2022. Elle rapportée par le média Hitek, est celle d’un candidat qui, ignorant Christophe Colomb, Magellan ou Vasco de Gama.
Il a répondu « Android » à la question « citez un grand navigateur ». Bien que réputé pour sa rapidité, ce système d’exploitation ne navigue malheureusement pas sur l’eau…
Heureusement, l’épreuve d’histoire-géographie n’est pas la seule à nous régaler avec ses perles. La philosophie est également propice à ce genre de bourdes.
En 2022, Le Parisien recensait les perles de cette matière. À la question « La liberté consiste-t-elle à n’obéir à personne ? ». Un élève audacieux a osé donner son argumentation.
Il disait: « Par exemple, si le surveillant me donne ce sujet de philosophie et que je refuse de le prendre, c’est parce que je suis libre de ne pas faire ce bac de philo car je n’en ai pas envie. Mais étant raisonnable, je le fais quand même, mais je perds ma liberté. »
Une autre perle, en réponse à la question « Revient-il à l’État de décider de ce qui est juste ? », a été formulée ainsi : « Si je trouve juste de rompre avec ma petite amie parce qu’elle est agaçante et que je ne veux plus la supporter, c’est à moi de décider, pas au juge. »
En français, les homonymes peuvent souvent induire en erreur. Comme le montre cette copie : « Ils passent tout l’heure temps dans la forêt ».
Il n’est pas facile de choisir entre l’heure, l’Eure, leur, leurs ou leurre ! La règle de mettre un « s » au pluriel a également été appliquée de manière littérale : « La troisième personne du pluriels ».
Les matières peuvent se mélanger pour créer de belles approximations. Comme : « Olympe de Gouges a lutté pour l’abolition de l’esclavage comme le faisait Martin Luther King ».
Cette pionnière du féminisme a été guillotinée en 1793. Tandis que le pasteur américain a été assassiné en 1968. Les droits des femmes ont particulièrement inspiré les lycéens en 2022.
Comme : « George Sand essaye de lutter contre l’inégalité homme femme. Donc pourquoi les femmes ne peuvent pas avoir les même droits que les hommes? Alors que nous sommes pareil juste le seul truc qui nous différencie est le sexe. »