L’engouement des épargnants pour le nouveau bon d’État persiste, malgré les défis liés aux virements et aux temps d’attente. De nombreux souscripteurs se heurtent à des limites concernant les transferts de fonds, ce qui rend la procédure complexe.
Au cours des derniers jours, des difficultés sont apparues dans les souscriptions au nouveau bon d’État, selon Jean Deboutte. Des plaintes affluent, indiquant que le processus d’augmentation de la limite pour les virements ne se déroule pas sans accrocs. De nombreux individus restent frustrés par les retards causés par les procédures bancaires. Ce qui retarde les transferts pour les montants élevés.
Il convient de noter que ces limitations ne viennent pas de l’Agence de la dette elle-même. Mais par les banques qui ont mis en place des plafonds journaliers ou hebdomadaires sur les transferts. Par exemple, ING Belgique et BNP Paribas Fortis ont fixé la limite en ligne à 25 000 euros par jour. Chez KBC, la limite est de 10 000 euros et chez Belfius, elle est de 25 000 euros par semaine.
Pour les épargnants cherchant à investir des montants importants dans le nouveau bon d’État. Ces restrictions bancaires peuvent poser des problèmes. Même si certaines banques permettent des ajustements temporaires des limites, cela peut prendre plusieurs jours ouvrables. En conséquence, les épargnants pourraient ne pas être en mesure d’investir la totalité de leur montant souhaité dans le bon d’État.
Les épargnants sont confrontés à des problèmes. Surtout, lorsqu’ils cherchent à souscrire au bon d’État en raison des limites de transfert imposées par les banques. Certains ont cherché à contourner ces procédures en plaçant leur argent sur un compte bancaire différent. Par exemple, un épargnant a expliqué qu’il avait voulu investir 100 000 euros. Mais sa banque ne pouvait pas traiter un transfert de cette ampleur. Les agences bancaires et les centres d’appels sont submergés par les questions sur le bon d’État. Ce qui ralentit encore le processus.
Pour augmenter les limites de transfert, les clients peuvent contacter leur banque, mais les délais varient considérablement. Certaines banques peuvent prendre plusieurs jours pour traiter ces demandes. De plus, certaines banques ont opté pour de multiples souscriptions au lieu d’augmenter les limites. Ce qui crée un surcroît de travail pour l’Agence de la dette. Cette situation entraîne des frustrations pour les épargnants et des défis pour les banques et l’Agence de la dette qui gèrent la souscription au bon d’État.