Un matin, le patron d’un restaurant reçoit une lettre d’une maman de 4 enfants qui part du restaurant sans payer 13 ans plus tôt. Dans ce sens, la femme joint un billet de 50 euros à cette lettre qu’elle met dans une enveloppe. Il s’agit d’une lettre qi renferme la confession d’une ancienne cliente qui regrette son geste.
Une maman de 4 enfants qui part du restaurant sans payer
En effet, cette maman de 4 enfants qui part du restaurant sans payer 13 ans plus tôt regrette son geste. L’histoire se passe dans un restaurant kebab qui s’appelle Le Bosphore en 2010. Dans ce sens, la famille passe un agréable moment. Et pourtant, au moment de payer, la maman prend ses enfants et quitte les lieux sans payer.
Apparemment, la famille se retrouve face à des problèmes économiques, ce qui la pousse à agir de la sorte. Par la suite, le restaurant reçoit une lettre avec les mots suivants. « Bonjour Monsieur le patron du Bosphore. Je vous remets cette lettre avec 50 € pour vous rendre votre argent ».
Le patron reçoit une lettre après 13 ans
En effet, cette maman de 4 enfants qui part du restaurant sans payer 13 ans plus tôt ne souhaite pas uniquement à rembourser. Elle tient également à présenter ses excuses au patron du restaurant par le biais de cette lettre. « J’espère que vous me pardonnerez pour cela. Qu’Allah vous accorde la réussite dans votre vie […] Pardonnez-moi, je regrette sincèrement » écrit-elle.
Dans ce sens, ce geste touche énormément le gérant du restaurant qui n’en revient pas. Apparemment, un ami à lui décide de partager cette histoire sur les réseaux sociaux.
Une belle leçon de bienveillance
En effet, le patron du restaurant ne se rappelle strictement pas de cette cliente. Le nouveau gérant ignore si elle s’était enfuie avec ses enfants sans rien dire ou si elle avait expliqué qu’elle n’avait pas les moyens de payer.
Dans ce sens, il décide de raconter cette histoire à un ami qui souhaite à son tour la partager sur les réseaux sociaux. Notamment, dans le but de sensibiliser les gens à avoir le cœur sur la main.
