Tout le monde se demande à présent le déroulement du trimestre anti-inflation adopté auprès de toutes les entités concernées. En effet, la question ultime est si les prix sont alors à la portée de la clientèle ou pas encore. Les prochaines lignes vont pouvoir nous informer un peu plus à ce propos.

Le concept de la mise en place du trimestre anti-inflation

Quelque temps après la crise sanitaire, c’est-à-dire, en 2022, la France a connu une grande inflation. Depuis, la population se plaint de ne pas pouvoir subvenir correctement à leur besoin. Les produits de premières nécessités sont les principaux concernés dans cette affaire.

Suite à cela, les responsables au sein du Ministère du Commerce ont alors décidé d’adopter une stratégie. Les commerçants devront alors pouvoir suggérer des produits ayant des prix à la portée de tout le monde sans faire faillite. D’après les calculs, une baisse de 13 % au minimum sur le prix de tous les produits est attendue au cours des 7 semaines.

Le déroulement du trimestre anti-inflation selon Olivia Grégoire

Au début de l’année 2023, l’inflation a frappé très fort sur notamment tous les produits indispensables au quotidien des Français. Il fallait de ce fait que la Ministre du Commerce, Olivia Grégoire, décide d’adopter un plan d’action efficace pour ses compatriotes.

En guise d’essai, elle a convaincu les grandes enseignes de proposer au minimum 50 produits à prix réduits. Ils ont appelé cette offre les paniers anti-inflation. Et à leur grande surprise, le plan a fonctionné. Elle décida alors de signer un contrat avec ces derniers pour un trimestre anti-inflation sur tous les produits. Cette offre a alors commencé depuis le début du mois de Mars.

Que se passe-t-il réellement auprès des entités concernées ?

Suite à de nombreuses enquêtes menées auprès des responsables des grandes enseignes, la vérité apparait enfin. Les propos qu’Olivia Grégoire a sortis au public ne sont pas vrais. La baisse des prix ne concerne que quelques produits et les 13 % ne sont pas du tout respecter.

Certes, ils n’ont pas du tout refusé l’accord de l’adoption du trimestre anti-inflation, mais à une certaine limite. Les grandes enseignes ont adapté le concept en fonction de leur marketing de vente en jouant entre une diminution de 0,3 à 1,5 % au maximum.