La révolution retraite est un mouvement qui promet un avenir radieux à toutes les facettes de la société professionnelle. Dans cette ère de changement, les salariés, les fonctionnaires et les libéraux s’unissent pour créer une symphonie nouvelle et inspirante de parcours de retraite. Explorez comment cette transformation épanouissante redéfinit les attentes et ouvre des horizons inédits pour chacun, en offrant un avenir doré où les rêves prennent vie, même après la carrière professionnelle.
Deux nouveaux décrets ont élaboré en détail le mécanisme permettant de réduire son activité tout en préservant une portion de sa pension. Les travailleurs pourront ménager la dernière étape de leur carrière tout en percevant une part de leur pension de retraite. Néanmoins, les bénéficiaires continueront de verser des cotisations en vue d’améliorer le montant final de leur pension, dès leur retraite définitive.
Actuellement ouverte à 60 ans, deux ans avant l’âge légal de départ à la retraite, la retraite progressive est sollicitable. Pour y être éligible, il est requis d’avoir cotisé pendant au minimum 150 trimestres. Ledit dispositif autorise une réduction spécifique du temps de travail, oscillant entre 40% et 80%, conditionnelle à l’aval de l’employeur en ce qui concerne la transition à temps partiel.
Le gouvernement a pris l’initiative de simplifier l’accès à la retraite progressive dans le cadre des réformes en cours pour les retraites. Cette opportunité va s’étendre désormais aux fonctionnaires, titulaires ou contractuels. Les décrets fournissent en outre une vue détaillée des modalités d’accès pour ces travailleurs privilégiés.
À l’heure actuelle, l’âge pour embrasser la retraite progressive restera fixé à deux ans avant l’âge légal, soit 62 ans d’ici 2030. Le mécanisme de la retraite progressive sera disponible à partir de 60 ans et trois mois, puis à 60 ans et six mois en 2024, et ainsi de suite.
Le 1ᵉʳ septembre prochain, les désireux de saisir l’opportunité de la retraite progressive devront adresser leur demande par lettre recommandée, avec un préavis de deux mois avant. Le refus ne pourra être motivé que par une incompatibilité avec l’activité de l’entreprise. Les employés auront la possibilité de réduire leur temps de travail (40 à 80%) après avoir validé au moins 150 trimestres de cotisations. Quant aux fonctionnaires, ils pourront jouir d’un temps partiel minimum de 50% grâce à cette option enrichissante.