Personne ne s’attendait à la révélation choc qui secoue le monde des deux roues actuellement. Cette enquête exclusive permet de lever le mystère entourant le nouveau tarif imposé aux motos et scooters pour le contrôle technique. Préparez-vous à découvrir les dessous de cette mesure controversée qui suscite déjà de vives réactions parmi les passionnés de deux-roues.

La révélation choc pour toutes les 2 roues

Le bras de fer entre les 2 roues et l’État a toujours été évident, surtout depuis l’annonce du contrôle technique, désigné sous le nom de CT2R. La nouvelle se confirme : les 2 roues devront bientôt soumettre leurs motos, scooters, tricycles et quadricycles motorisés à ce contrôle technique. Cette décision controversée a été prise par le Conseil d’État le 2 juin dernier, suscitant la colère d’Alain Dubois, responsable de la commission sécurité routière de la FFMC.

Face à la réaction indignée des Français, le ministre délégué aux Transports, Clément Beaune, a tenu à apaiser la situation. D’ailleurs, il soutient que cette mesure vise le bien-être des Français et nie tout lien avec des motivations financières.

Le contrôle technique dédié aux deux roues

Dès le début de l’année 2024, le tant redouté contrôle technique pour les 2 roues sera bel et bien en place. Mais la question brûlante sur toutes les lèvres demeure : quel sera le coût de cette future vérification incontournable ?

Le directeur technique et formation au sein du groupe SGS, a levé le voile sur ce sujet épineux. Il explique que le tarif du contrôle technique pour les 2 roues sera inférieur à celui des voitures. Ainsi, il faudra prévoir moins de 50 euros pour les deux-roues, contre environ 72 euros TTC pour les voitures. Une nouvelle réalité qui pèsera désormais sur tous les adeptes de la mobilité sur deux roues pour se maintenir en conformité.

Au moment de ce contrôle technique tant redouté, les experts s’attacheront à évaluer la résistance des freins, des pneus, ainsi que l’éclairage et la direction. Toutes ces vérifications visent à minimiser les risques d’accidents liés à d’éventuelles défaillances techniques. Les motards devront alors se préparer à franchir cette nouvelle étape cruciale pour assurer leur sécurité et celle des autres usagers de la route. Une mesure qui, malgré son coût, vise à renforcer la sécurité routière et à garantir une conduite plus sûre pour tous.