Suite à l’établissement de la nouvelle réforme, la retraite dédiée aux non-travailleurs devrait être dorénavant disponible. C’est la raison pour laquelle il est indispensable de connaitre quelles sont les procédures à suivre pour assurer ses arrières. Bien avant d’atteindre l’âge légal pour partir en retraite, quelques formalités sont à compléter pour percevoir le minimum.
Les étapes à suivre pour bénéficier la retraite dédiée aux non-travailleurs
Même pour celui ou celle qui n’a jamais travaillé de toute sa vie, il est possible pour eux de percevoir une pension à la retraite. Toutefois, il y a quelques conditions à respecter. La souscription auprès d’une assurance est, de ce fait, obligatoire. Mais, cela implique qu’il faut cotiser. D’ailleurs, trois options sont à la disposition de ces derniers :
– se souscrire à une assurance vieillesse dédiée aux parents au foyer
– s’affilier à Pôle emploi en tant que chômeur dans le but de profiter au moins 6 trimestres retraites
– payer de son plein gré une cotisation régulière auprès de la caisse primaire d’assurance maladie ou CPAM
Que faire pour compléter sa pension pour les personnes ayant très peu travaillé ?
Le fait de ne pas avoir achevé les six trimestres au travail ne doit pas poser de problème. Comme il y a toujours une solution à tout, quelques modifications ont été apportées aux règles pour ceux qui ont très peu travaillé.
C’est pourquoi, en déclarant ne serait-ce qu’un seul trimestre travaillé compte pour obtenir la pension. Bien évidemment, le montant serait différent de celui des travailleurs. Mais, au moins, ça pourrait apporter une grande aide. En cas de besoin, le mieux est de soumettre des demandes pour les différentes aides financières.
Les conditions d’éligibilité pour l’allocation de solidarité aux personnes âgées ou Aspa
Toujours dans l’optique d’aider les nécessiteux et d’alléger les dépenses à la retraite, il y a l’allocation de solidarité aux personnes âgées ou Aspa. Certes, tout le monde peut en bénéficier, tant que les conditions suivantes sont respectées :
– être à la retraite, c’est-à-dire, âgé de 65 ans au minimum
– vivre sur le territoire français durant les 6 derniers mois avant la soumission de la candidature
– bénéficier de pas plus de 916,78 euros tous les mois