Malgré toutes actualités qui accaparent la toile et les journaux, il ne faut pas oublier ce qui concerne les impôts 2024. Il s’agit d’une obligation pour chaque contribuable. Plus encore, les Français sont contraints de déclarer leurs revenus avant les dates butoirs pour échapper à des pénalisations.

Impôts 2024 : les dates butoirs pour déclarer les revenus


Les Français sont tenus à déclarer leurs revenus de l’année précédente, soit N-1 à l’administration fiscale chaque année. Bien que le prélèvement à la source ait été annoncé. Puis, mis en marche depuis quelque temps, il faudra tout de même s’y prendre et se conformer à cette obligation. Comme à l’accoutumée, cette déclaration doit être faite chaque printemps. Jusqu’à présent, elle date reste inchangée.

Actuellement, aucune information précise n’a été divulguée à propos du début de la déclaration en ligne. Par contre, les dates limites pour la déclaration des impôts sur les revenus 2024 sont déjà connues. En effet, la DGFiP a déjà dressé le calendrier pour cette année pour chaque département en France.

Les détails de ce calendrier du fisc


Les contribuables qui résident dans les départements 01 de l’Ain à 19 de Corrèze doivent s’y mettre avant jeudi 23 mai à minuit. Les habitants dans les départements 2A en Corse à 54 de Meurthe-et-Moselle ont jusqu’au jeudi 30 mai à minuit au plus tard pour déclarer leurs revenus. Enfin, les résidents des départements 55 de Meuse à 976 à Mayotte doivent s’y mettre le jeudi 6 juin à 23 h 59.

Par ailleurs, quelques informations méritent d’être mises aux clairs. Les contribuables qui utilisent encore le formulaire papier 2042 pour déclarer leurs impôts sur leurs revenus doivent rester attentif à cette annonce. En effet, ils ont jusqu’au lundi 20 mai pour le renvoyer à leur centre de finances publiques. Ainsi, le cachet de la Poste faisant foi. Pour tous les contribuables, il faut absolument respecter ces dates limites de déclaration des revenus. À l’inverse, des sanctions pourraient être engagées. Les retardataires vont devoir payer 10 % de plus du montant de l’impôt sur le revenu.