Depuis des années, le secteur de l’immobilier inquiète tout le monde. Cette situation vient à cause de la crise dans ce secteur. Pour les personnes à la recherche d’un logement ou pour les professionnels qui œuvrent dans ce domaine, la situation devient critique. D’ailleurs, cette situation ne risque pas de s’atténuer dans les prochains mois. Le sujet des logements vacants et la hausse de demandes de logements sociaux sont très préoccupants.
À Paris, trouver un logement est devenu très compliqué. Les chiffres montrent que la situation se détériore davantage. Le nombre de résidences principales diminue en raison de plus de logements inoccupés. Dans ce sens, le marché locatif privé serait de plus en plus critique à en croire la révélation de l’adjoint au maire de la capitale française.
Actuellement, il y a 260 000 logements vacants à Paris. Dans les détails, cela fait 130 000 résidences secondaires et 130 000 logements inoccupés. D’ailleurs, les résidences secondaires ont également suivi la même tendance. Ce qui permet d’annoncer que le chiffre a connu une majoration de 10 000 de plus par rapport à 2022. Ensuite, plus de 50 000 supplémentaires durant ces 10 dernières années. Ce qui explique les 9,2 % des logements à Paris n’est pas habité. Les arrondissements parisiens les plus concernés sont le 15 ᵉ, 16ᵉ, 1ᵉʳ et 8 ᵉ, selon toujours ce dernier.
D’après l’adjoint du maire, le problème du logement à Paris est de plus en plus compliqué. Apparemment, près de 260 000 personnes cherchent un logement social. Ce chiffre est d’ailleurs le même que les logements inoccupés. Face à cette situation sur l’immobilier critique, des solutions devraient être présentées au plus vite. Par conséquent, il a demandé une audience au ministre du Logement, Patrice Vergriette, afin de discuter sur les solutions à prendre pour régler le problème.
Par ailleurs, il ne va pas assister à cette réunion sans quelques propositions. Il a conseillé de revoir les taxes à la hausse. Son souhait pourrait encourager les propriétaires de résidences secondaires et de logements vides à les louer. Cette proposition sera examinée dans le cadre de la loi de finances de 2024. Jacques Baudrier pense qu’il est possible que de nombreux logements puissent être disponibles à court terme à Paris si la situation s’améliore.