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Gestion du prix du carburant : cette nouvelle règle pour les stations des supermarchés

Dans cet article, nous allons évoquer la solution proposée par le gouvernement pour la gestion du prix du carburant. Il s’agit d’une nouvelle règle que nous pouvons retrouver en Grande-Bretagne depuis plusieurs mois. En effet, cette solution qui consiste à publier les prix en direct dans le cadre d’un nouveau programme vise à plafonner les prix, voire les baisser.

Gestion du prix du carburant


En effet, les automobilistes britanniques ont dû payer 7 centimes supplémentaires par litre dans les stations des supermarchés en 2022. Une situation assez problématique qui pousse le gouvernement à proposer une solution pour la gestion du prix du carburant.

Dans ce sens, la faible concurrence dans le pays permet aux entreprises d’augmenter les factures dans les stations essence. Le nouveau programme qui vient d’être voté consiste à afficher les prix en ligne et en direct. Ce dispositif va permettre aux automobilistes de comparer et de trouver l’option la moins chère. De plus, la mise en place du nouveau contrôle du carburant permet de contrôler l’évolution des prix du carburant.

Des marges toujours plus grandes


En effet, grâce à cette solution pour la gestion du prix du carburant, les conducteurs pourront accéder aux prix de chaque station. Notamment, sur téléphone ou sur ordinateur.

Dans ce sens, il s’agit d’une initiative assez difficile à appliquer comme les groupes pétroliers ne donnent les informations qu’aux stations-service. Ainsi, le gouvernement n’a pas accès à ces informations.
Néanmoins, l’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA décide de mener une enquête sur le marché britannique. Apparemment, certaines marges sur le carburant ont doublé voire triplé depuis 2019 en Grande-Bretagne.

Une nouvelle initiative pour la France


Dans ce sens, le public se demande si cette initiative pour la gestion du prix du carburant pourrait débarquer en France. Compte tenu du fait que les distributeurs se retrouvent déjà sous surveillance dans l’hexagone.

En effet, Agnès Pannier-Runacher avait demandé de répercuter au plus vite la baisse des prix à la pompe, début mai. Elle qualifie l’augmentation des marges des entreprises sur le dos des Français comme étant inacceptable.