Le groupe Decathlon adopte une toute nouvelle approche pour garder la tête hors de l’eau face à la rude concurrence. Parmi ses stratégies, il a l’abandon de certaines marques, mais également la fermeture de deux magasins qui ne rapportent pas assez.
Decathlon : deux magasins vont fermer
Decathlon change sa façon de faire pour mieux vendre ses produits de sport. On peut dire que la nouvelle directrice générale a une toute nouvelle vision pour atteindre ses objectifs et regagner sa popularité d’antan. Barbara Martin Coppola a élaboré un plan pour atteindre ses objectifs. Mais surtout, elle espère avec cette nouvelle stratégie faire face à la concurrence d’Intersport.
On sait qu’actuellement, les magasins Decathlon comptent dans les 1 751 à travers le monde. Mais il ne compte pas s’arrêter là et continue d’ouvrir d’autres espaces de vente. Ainsi, pour cette stratégie, Decathlon a sacrifié deux magasins parmi les 325 en France. En effet, la direction du groupe a décidé de fermer deux magasins qui ne marchent pas bien. Il s’agit de celui de Treillières près de Nantes et celui de Le Vigen près de Limoges.
Des projets de réaménagements et de réduction de marque
Ce n’est pas tout. Decathlon veut également transformer certains autres magasins pour les rendre plus petits et louer l’espace restant à d’autres enseignes. D’ailleurs, cette décision concerne le magasin à Paris au Rosa Parks dans le 19ᵉ, à Meaux, Blois ou à Mantes-la-Jolie. En plus, Decathlon veut se concentrer sur les ventes en ligne.
Parmi les nouvelles stratégies de Decathlon, il y a également la réduction du nombre de marques qu’il propose. La nouvelle directrice veut garder environ 15 marques parmi les 49 proposées. Cependant, l’enseigne compte garder les marques spécifiques pour les sports collectifs, aquatiques et d’autres sports. Apparemment, trop de marques compliquent les choses pour les clients et augmentent les coûts de stockage. La direction espère ainsi réduire l’offre de 20 % et d’introduire des marques internationales.
Face à tous ces changements, certains syndicats ne manquent pas de partager leur inquiétude. En effet, ils craignent que la rentabilité se fasse au détriment des conditions de travail et des rémunérations.