Bernadette Chirac se retire dans l’endroit qui a marqué ses plus belles années. Depuis la disparition de son mari Jacques Chirac, Bernadette Chirac, l’ancienne Première dame, cherche refuge dans l’endroit où elle a vécu des années politiquement animées et où elle a conquis le cœur des Français.

Le château de Bity en Corrèze : Un refuge historique pour Jacques et Bernadette Chirac


Le château de Bity, situé en Corrèze, a joué un rôle essentiel dans la vie de Jacques et Bernadette Chirac. Acquis dans les années 1960, ce magnifique domaine est devenu un lieu de retraite apprécié par le couple emblématique.

Entouré d’un vaste terrain de neuf hectares, le château a offert à Jacques et Bernadette Chirac un havre de paix loin de l’agitation politique. À l’époque où Jacques Chirac était un élu local en Corrèze. Et le couple a pris la décision d’investir dans cette résidence historique.

Ils y ont emménagé avec leurs deux filles, Laurence et Claude, créant ainsi des souvenirs familiaux inoubliables. Cependant, avec l’ascension politique de Jacques Chirac, leurs visites au château de Bity se sont raréfiées. Pourtant, lors de leurs rares séjours, le couple Chirac accueillait des personnalités politiques et des amis proches dans ce cadre magnifique.

Les murs de la demeure ont été témoins de conversations intimes et de discussions passionnées sur l’actualité. Les deux maisonnettes adjacentes au château ont également été le théâtre de parties de billard animées.

Aujourd’hui, le château de Bity incarne l’amour indéfectible de Jacques et Bernadette Chirac pour la Corrèze. C’est un lieu emblématique qui raconte une histoire riche en émotions et en souvenirs pour ce couple légendaire.

Le château de Bity en péril financier


Le célèbre château de Bity, résidence emblématique de la famille Chirac en Corrèze, aurait souffert de graves difficultés financières avant le décès de Jacques Chirac. La famille aurait dû réduire considérablement les dépenses liées à l’entretien de cette imposante demeure.

Ces restrictions budgétaires ont malheureusement eu un impact sur la splendeur de la propriété. Le toit couvert de mousse, les pièces non chauffées en hiver, causant des dommages irréversibles aux murs en granit, ainsi que les clôtures en bois brisées sont autant de tristes constatations faites par France-Soir en 2011.

De plus, le contribuable aurait dû prendre en charge des frais de surveillance s’élevant à 420 000 euros. Ainsi, le château de Bity a connu une période difficile, laissant entrevoir le triste spectacle d’une demeure abandonnée.

Les contraintes financières ont inévitablement affecté l’intégrité et la préservation de ce lieu chargé d’histoire. En mettant en évidence les défis auxquels la famille Chirac a dû faire face pour préserver leur patrimoine.