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Bernadette Chirac : aspire à se reposer dans ce magnifique château en Corrèze

Depuis la mort de Jacques Chirac, Bernadette Chirac souhaite simplement retourner dans le magnifique château en Corrèze. C’est l’endroit où elle a vécu ses moments les plus heureux.

Le château de Bity : Un lieu cher au cœur des Chirac en Corrèze


Jacques et Bernadette Chirac ont acquis le château de Bity près de Tulle en 1969. Cette bâtisse du XVIIe siècle repose sur un vaste terrain de neuf hectares. À l’époque, le couple, accompagné de leurs deux enfants, Laurence (11 ans) et Claude (7 ans), s’y installait régulièrement.

Bien que Bernadette Chirac, désormais plus âgée, ne puisse plus venir tous les week-ends. Elle apprécie toujours se ressourcer dans cette région qui était chère au cœur de son mari, l’ancien président. L’achat de cette magnifique demeure en pierre s’est concrétisé à la fin des années 1960.

La résidence des Chirac : Des visites occasionnelles dans un cadre intime

Le père de famille, engagé en politique, a rapidement déménagé avec sa famille à Paris. Selon les médias, les Chirac ne se rendaient au château qu’une fois par an au cours des dernières années. Lors de ces rares visites, le couple accueillait des amis et des personnalités politiques pour des discussions intimes sur l’actualité;

Et parfois ponctuées d’une partie de billard dans l’une des deux maisons voisines de la propriété. Cette résidence familiale un lieu très privilégié, où les Chirac se retrouvaient occasionnellement dans une atmosphère chaleureuse et conviviale.

Coût élevé de l’entretien du château des Chirac


Avant la mort de Jacques Chirac, sa famille avait du mal à entretenir la vaste demeure corrézienne. Ils cherchaient à réduire les dépenses annuelles, ce qui a entraîné la détérioration de la propriété. Le toit est désormais couvert de mousse, les dix pièces ne sont plus chauffées en hiver.

Tous ces critères provoquant des dommages aux murs, et la clôture est brisée à plusieurs endroits. En 2011, France-Soir a décrit le manoir comme triste et abandonné, précisant que les contribuables payaient 420 000 euros pour la sécurité. Le coût élevé de l’entretien pose un défi pour la famille Chirac.