Le 19 juillet, Aurore Morisse, acheteuse vedette d’affaire conclue, parle dans un podcast belge. Elle raconte les violences conjugales qu’elle a subies.
Depuis son arrivée en 2021 dans le show très connu Affaire conclue diffusé sur France 2, Aurore Morisse s’est imposée comme l’une des figures marquantes parmi les acheteurs de l’émission. Les téléspectateurs suivent avec intérêt ses batailles pour obtenir les objets qui éveillent son intérêt.
Lors d’une récente interview accordée à Télé-Loisirs, l’antiquaire originaire de Liège s’est ouverte sur ses relations avec ses collègues de travail. Qu’il s’agisse de Caroline Margeridon, Stéphane Vanhandenhoven ou François Cases Bardina, elle affirme s’entendre « avec tout le monde ». Elle évoque même son rapport ambigu avec Damien Tison, reconnaissant qu’elle l’apprécie
Mais que leur passé similaire et leurs goûts communs pour les antiquités les mettent parfois en concurrence pour les mêmes objets. Dans un avenir proche, Aurore Morisse est prévue pour rencontrer la nouvelle animatrice du programme, Julia Vignali, dans ce qui promet d’être un moment intéressant pour les fans de l’émission.
Dans un récent podcast avec Face à la juge Gruwez, diffusé le 19 juillet, Aurore Morisse s’est ouverte sur des moments difficiles de sa vie. L’interview a été encore plus franche que celle avec Télé-Loisirs. Pendant la conversation, la question a été posée : « Avez-vous été victime de quelque chose sans porter plainte ? »
Aurore Morisse a confirmé en expliquant qu’elle avait gardé le silence pour éviter des ennuis légaux à la personne impliquée. Elle avait consulté un médecin pour prouver qu’elle avait eu le nez et les côtes cassés. Cependant, elle n’a pas voulu en dire plus. Elle a partagé que si elle avait porté plainte, cela aurait nui à la carrière de la personne. Malgré les épreuves, elle a préféré garder le silence pour éviter d’aggraver la situation.
Aurore Morisse a partagé son expérience troublante. Elle a dit : « La meilleure chose que j’ai faite, c’est parler à des gens et faire un constat. » Elle n’a pas voulu se plaindre en ligne. « Je ne veux pas être vue comme une victime. Je dis : Cela arrive à tout le monde. Quitter est difficile, mais important. »
Elle a raconté comment elle a pris la décision de partir. « On a peur, mais j’ai rassemblé mes affaires et je suis partie. J’aime ma liberté, même si elle coûte cher. Depuis jeune, je n’ai jamais laissé les autres me traiter mal. Ma liberté est précieuse. » Son témoignage est marquant et puissant.