Cette alerte danger vise à nous mettre en garde face à œufs POLLUÉS qui ne doivent plus être consommés dans cette partie de la France. Nous retrouvons des taux de PFAS (substances per- et polyfluoroalkylées) inquiétants, un problème qui ne s’arrangera pas de sitôt. Il s’agit des composés synthétiques issus de l’industrie chimique largement utilisés pour leurs propriétés dans les textiles, emballages et ustensiles de cuisine.
Alerte danger : ces œufs POLLUÉS
En effet, cette alerte danger concerne des œufs POLLUÉS qui ne doivent plus être consommés dans une partie de la France. Les chercheurs trouvent régulièrement des traces inquiétantes de PFAS surnommés polluants éternels dans l’eau et les sols. Ce surnom peu flatteur dispose d’une durée de vie très longue.
Dans ce sens, les PFAS se retrouvent dans les organismes vivants et dans le corps des animaux sauvages et domestiques. La Préfecture du Rhône a publié un communiqué suite à des relevés inquiétants. Pour inciter les particuliers de certaines communes à ne plus consommer les œufs et la chair des poules.
Ils ne doivent plus être consommés dans cette partie de la France
En effet, le magazine Sciences et Avenir rapporte cette alerte danger concernant les œufs POLLUÉS. Elle concerne à une zone surnommée « la vallée de la chimie » avec 16 villes qui s’ajoutent aux quatre déjà signalées. Les prélèvements effectués à Pierre-Bénite, Saint Genis-Laval, Oullins et Irigny dès janvier dernier inquiètent les autorités. Ils montrent des teneurs en PFAS dépassant les seuils fixés par le Règlement UE 2022/2388 du 7 décembre 2022.
Elle concerne Brignais, Chaponost, Charly, Feyzin, Francheville, Irigny, La Mulatière, Lyon 7, Lyon 8, Oullins, Pierre-Bénite, Saint-Fons, Saint-Foy-lès Lyon, Saint-Genis-Laval, Solaize, Vernaison, Vourles. La préfecture du Rhône informe le grand public des résultats des prélèvements le 3 avril dernier.
Des analyses supplémentaires
En effet, les œufs particulièrement sensibles vis-à-vis de la présence de perfluorés représente un danger pour les consommateurs. 26 prélèvements parmi les 30 réalisés ont montré des valeurs supérieures au seuil limite, une situation préoccupante. Les PFAS favorisent le développement de certains cancers et d’autres maladies.
Par conséquent, les autorités décident d’effectuer des analyses supplémentaires sur les sols avec des prélèvements de terre. Notamment, pour mieux de comprendre l’origine de la pollution et de déterminer la meilleure façon de s’en protéger.