À partir du 1er juillet, les allocations sociales ne pourront plus être versées à l’étranger, ce qui a été annoncé par Gabriel Attal. Cette décision est considérée comme normale. Car il est logique de ne pas verser nos aides à des pays hors Union européenne. Toutefois, l’auteur soutient que cette règle devrait également s’appliquer aux pays membres de l’Union européenne.
Chaque mois, des retraités français reçoivent leurs pensions élevées payées par les impôts et les charges sociales hors de France. Puis, dépensent leur argent à l’étranger, comme au Portugal où ils sont plus d’un million.
Cela a un impact négatif sur l’économie française et sur l’effort national. Car ces retraités ne payent pas d’impôts en France et ne contribuent plus à l’effort national. Cette situation devrait être corrigée en liant les aides sociales, les pensions et les indemnités à la résidence fiscale en France. Afin de ne pas appauvrir la France et d’encourager la croissance économique.
Il y a des fraudes aux prestations sociales qui sont inadmissibles et le gouvernement a donc décidé d’anticiper la date de mise en application de la mesure annoncée par Gabriel Attal en octobre dernier. Le ministre des Comptes publics a déclaré que les versements d’allocations sociales ne seront plus possibles sur des comptes étrangers hors Union européenne à partir du 1er juillet prochain. Soit plusieurs mois avant la date initialement prévue.
Seuls les comptes bancaires des pays membres de la zone SEPA pourront continuer à recevoir les prestations sociales distribuées par l’État français, ce qui ne devrait pas concerner les pensions de retraite. Cependant, le problème ne se résume pas seulement aux fraudes ! En plus des fraudes, cette mesure devrait naturellement inclure les pensions de retraite. Ou permettre les versements à l’étranger si la résidence fiscale est en France et les impôts y sont payés.
Cette décision ne sera pas populaire, mais pour redresser le pays. Donc il est essentiel de travailler dur, de faire des efforts financiers considérables et de se serrer collectivement la ceinture.