Brigitte Bardot, défenseuse des animaux, partage son dernier souhait avant de tirer sa révérence à l’âge de 89 ans. Depuis 1975, elle mène un combat sans relâche contre la souffrance animale. Dans une lettre ouverte au président de la République, elle exprime un ultime souhait.
Brigitte Bardot, toujours engagée à 89 ans
À l’approche de ses 89 ans, Brigitte Bardot, icône du cinéma français, continue de lutter contre la souffrance animale depuis 1975. Sa fondation, FBB, créée en 1986, est l’un de ses accomplissements. En œuvrant pour la réintroduction d’espèces et l’amélioration des conditions de vie des animaux.
À travers des combats contre la fourrure, les expérimentations animales et la corrida. Et également le gavage des oies et des canards, elle confirme ses positions. Malgré sa conscience de sa propre mortalité, Brigitte Bardot exprime un ultime souhait. Cela dans une lettre ouverte adressée au président de la République.
Brigitte Bardot appelle à l’abolition de l’hippophagie dans une lettre ouverte au gouvernement
Le 1er mars 2023, Brigitte Bardot a utilisé son compte Twitter pour lancer un appel au gouvernement français. Dans une lettre ouverte relayée par le journaliste de l’AFP Jean-François Guyot, elle exprime son indignation suite à la visite d’Emmanuel Macron aux abattoirs de Rungis. Qui a été précédée par la Foire aux chevaux de Maurs.
Brigitte Bardot, défenseuse des animaux, dénonce avec vigueur la consommation de viande de cheval. En qualifiant cette pratique d’« atroce hippophagie ». Elle souligne l’importance de reconnaître les contributions des chevaux à l’humanité et estime que cette consommation est une honte qui n’a plus sa place dans notre époque. Toutefois, ce n’est pas le seul sujet de préoccupation pour l’icône française.
L’interdiction des foires aux chevaux dans son dernier souhait
Brigitte Bardot exprime son ultime souhait avant la fin de ses jours : l’interdiction des foires aux chevaux, qualifiées d’« atroces couloirs de la mort ». Et la cessation de tout commerce lié à la mort des animaux. Après 50 ans de combat, elle estime mériter cette victoire avant son « grand départ ».
La star des années 70 s’était déjà indignée de la présence d’Emmanuel Macron aux abattoirs de Rungis. Et en qualifiant le choix de ce décor « sanglant » de repas pour le Président inconscient se nourrissant de la mort des animaux. Cette prise de position témoigne de son engagement indéfectible, salué par de nombreux admirateurs.